Ces programmes pourraient tout de même être fortement impactés compte tenu : Missions du CNES / Service Spatial aux États-Unis, © 2020-2021 France-Science. L'un des programmes militaires les plus avancés actuellement aux États-Unis est l'avion spatial Boeing X-37B, dont les 2 exemplaires ont déjà effectué plusieurs vols orbitaux de longue durée (6 en octobre 2020) pour le compte de l'US Air Force (OTV-1 à 5) et de la Space Force (OTV-6). Le gouvernement américain adopte en 2020 un décret qui reconnaît officiellement le droit des entreprises privées américaines à revendiquer des ressources dans l’espace. Les avancées réalisées dans le domaine spatial y sont mentionnées au même titre que les actions du gouvernement en matière de lutte contre le terrorisme, les relations avec la Chine ou la situation au Moyen-Orient (« President Trump has taken steps to advance American leadership and freedom of action in space as critical to U.S. national security »). Pour lui, le Spatial est un vecteur de la puissance nationale, au service de la sécurité et de la défense du peuple américain d’abord, du prestige et du leadership de la nation américaine ensuite. La science restaurée. Dans toutes ces considérations, le prochain Président ne pourra occulter la montée en puissance dans le domaine spatial de la Chine, et dans une moindre mesure de la Russie. C'est durant ce programme que Edward White devint le premier américain à effectuer une sortie extravéhiculaire (le 3 juin 1965) moins d'un mois et demi après le russe Alexei Leonov. En 2019, on compte 21 lancement pour les États-Unis, 27 en incluant les 6 de Rocket Lab, depuis la Nouvelle-Zélande, contre 34 pour la Chine et 22 pour la Russie[5]. Selon l’issue, Donald Trump a annoncé à plusieurs reprises qu’il ne reconnaitrait pas le résultat, considérant le recours massif aux bulletins par courrier comme un risque majeur de fraude « orchestrée par les Démocrates ». Space Force), tandis que les Démocrates pourraient remettre en avant le Spatial au service de l’environnement et de la lutte contre le changement climatique avec l’observation de la Terre. Si ce domaine bénéficie d’un soutien bipartisan, les budgets et objectifs calendaires du programme Artemis pourraient être revus (l’objectif du retour sur la Lune était prévu pour 2028 jusqu’en mars 2019), À un retour au premier plan du soutien aux programmes scientifiques et d’observation de la Terre au profit de l’environnement et de la lutte contre le changement climatique, un sujet de prédilection de Joe Biden, mis en avant lors du premier débat présidentiel le 29 septembre, À un renforcement possible du rôle institutionnel, notamment de la NASA, au détriment du secteur privé, à l’image du projet de loi d’autorisation de la NASA proposé par la Chambre des Représentants à majorité démocrate, Des retards certains sur le vote du budget fédéral 2021. La première mission du programme spatial américain Apollo se solde par la mort de trois astronautes, intoxiqués dans l'incendie de leur capsule. Quel que soit le résultat du scrutin du 3 novembre, on peut s’attendre à une continuité des programmes spatiaux majeurs même si les priorités, les budgets et les calendriers associés pourraient être revus. Le décollage s'effectue quant à lui sur des lanceurs dits "commerciaux". Le rôle et l’importance qui lui seraient accordés par Joe Biden s’il était élu seront donc déterminants. Autre fait marquant, les Américains souhaitent que la NASA conduise des missions « géo-centrées » : 43% estiment que l’observation de la Terre devrait. À la fin de 2008, sur les 150 satellites militaires opérationnels en orbite, 76 étaient américains. Elle destinée à la conduite des opérations militaires américaines dans l'espace. Le programme a aujourd'hui été relancé par l'administration Trump sous le nom de Programme Artemis. La création du Civil Applications Committee chargé de l'interface entre les services demandeurs et les utilisateurs des satellites de renseignement en 1975, suite aux recommandations de la commission Rockefeller, permit de rendre plus accessible l'utilisation des photos-satellites par les diverses administrations et organismes. Traditionnellement, les démocrates semblent plutôt privilégier une approche multilatérale dans les affaires internationales, mais le contexte géopolitique actuel pourrait les en dissuader. Impacts potentiels sur les programmes spatiaux en cours, 6. L’année 2020, soit dit en passant, promet d’être une année riche en activité spatiale entre ce programme, ExoMars de l’ESA (l’agence européenne pour l’espace – petit rappel) et la Chine qui s’active sur la question également avec le lancement de Longue Marche-5 le 27 décembre 2019 (fusée spatiale) avant une mission sur Mars prévue dans l’année. Virgil Grissom, Edward White et Roger Chaffee prennent place à l'intérieur de l'engin spatial pour subir les premiers tests au sol quand le feu se déclenche. Que ce changement de paradigme intervienne ou non, Charles Bolden pense que le programme coûteux du Space Launch System sera de toutes façons abandonné lors du prochain mandat présidentiel, et ce quel que soit le prochain locataire de la Maison Blanche. Il semble donc peu probable que Joe Biden remette en question les grands programmes initiés depuis plusieurs années, qui bénéficient d’un soutien bipartisan au sein du Congrès et d’un avis plutôt favorable de l’opinion publique. De nombreuses missions spatiales d'importance rythment l'année 2020. De très nombreux exemples de phrases traduites contenant "programme spatial américain" – Dictionnaire anglais-français et moteur de recherche de traductions anglaises. Les principaux travaux scientifiques furent sur la compréhension des séjours de longue durée dans l'espace et l'observation du soleil. Plus marginaux sont les budgets spatiaux de la, Le programme spatial militaire qui représente 36,5 milliards US$ est lui-même ventilé entre trois agences. Une autre charge utile militaire célèbre du spatial américain est le satellite de reconnaissance "NROL-44", particulièrement connu du fait de ses nombreux reports de lancement, et de son design impressionnant comprenant une antenne dépliable de 100m de diamètre. Un seul paragraphe fait mention explicite du domaine spatial : « Democrats continue to support the National Aeronautics and Space Administration (NASA) and are committed to continuing space exploration and discovery. Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) Deuxième programme de vol habité américain, le programme Gemini se voulait bien plus avancé que Mercury. Le 3 novembre 2020, les Américains sont appelés à élire le prochain Président des États-Unis d’Amérique. L'industrie privée, à partir des années 2000, commence à prendre une part active dans le domaine des vols habités, notamment dans le secteur du tourisme spatial alors que l'arrêt des vols de la navette spatiale américaine en 2011 fait que la NASA devra utiliser des lanceurs russes le temps qu'un successeur soit en service au début des années 2020. Joe Biden entend axer les investissements fédéraux vers la création d’emplois dans certains domaines scientifiques et technologiques précis afin de répondre aux menaces émergentes (incluant celles qui s’expriment dans l’Espace) qui pèsent sur la sécurité nationale des États-Unis. Au delà des missions, le changement le plus important pour le spatial militaire américain est la séparation de la branche spatiale de l'USAF pour en faire un nouveau corps indépendant, la United State Space Force, autrement surnommé "Space Force", le 20 décembre 2019. Autrefois représentant républicain au Congrès, il s’est forgé une réputation d’homme de compromis. Ce programme a commencé en 1958, pendant la course à l'espace, et a continué avec les programmes Mercury et Gemini, créés en préparation du programme Apollo, le plus célèbre des programmes des États-Unis. La stratégie de politique internationale en matière spatiale pourrait également diverger. 2020. Il s'agît donc d'une station "humide", car constituée d'un ancien réservoir réaménagé en orbite. Les dates indiquées sont celles de lancement du ou des engins spatiaux. Au total ce programme compta 19 vols non-habités et 6 vols habités. La mission était à l'origine prévue pour le mois de février. D’autres engagements pourraient par ailleurs impacter la politique spatiale: Par ailleurs, le Comité National Républicain a mis en lumière le 25 août les principales réalisations du Président Trump au cours de son mandat en matière de politique étrangère, « dans le monde et dans l’Espace » . Le camp républicain privilégie le renforcement de l’exploration habitée (avec le retour sur la Lune en 2024) et du spatial militaire (avec la montée en puissance de l’U.S. L'utilisation d'imagerie satellite destinée à l'origine à la communauté du renseignement et aux forces armées par des services civils remontent au début des années 1960 et au programme spatial lancée par la présidence Eisenhower. En janvier 2020, ces derniers ont initié la feuille de route de la NASA pour les prochaines années : le projet de loi d’autorisation « NASA Authorization Act of 2020 » (H.R.5666), introduit par la Commission Science et Espace et Technologie de la Chambre des Représentants. Ce décret établit ainsi que « les Américains ont le droit de s’engager dans l’exploration commerciale, la récupération et l’utilisation des ressources dans l’espace extra-atmosphérique, conformément au droit applicable », et que les États-Unis ne considèrent pas l’espace comme un « bien commun mondial »[4]. À noter que classiquement, les budgets proposés par la Maison Blanche sont plus soutenus sous les mandats républicains que démocrates (le budget de la NASA ayant stagné voire diminué sous l’ère Obama), À une continuité dans le soutien des programmes d’exploration, notamment Artemis (retour sur le Lune d’ici 2024), au détriment des programmes scientifiques, à l’image de la dernière requête budgétaire pour l’année fiscale 2021 (+45% pour l’exploration / – 12% pour la science), À un soutien accru au secteur privé national, À un possible réajustement des priorités notamment en ce qui concerne l’exploration humaine. Dans les années 1970, le pouvoir public américain et la NASA décident de créer un véritable "bus" pour l'espace. Après Apollo, les États-Unis mirent sur pied divers programmes, tels que Skylab, pour mieux comprendre l'espace et pour donner une suite au programme Apollo. La NASA utilise sa navette spatiale pour la desserte de la station spatiale internationale jusqu'en 2011 mais fait appel au secteur privé pour ses autres besoins (Delta II, Falcon 9...). La croissance de la consommation de débit binaire par les militaires américains est continue : en 1991, ils utilisaient 99 mégaoctets par seconde pendant l'opération Tempête du désert ; fin 2001, ils utilisaient environ 700 mégaoctets par seconde de bande passante durant la chute du régime taliban[7]. Le Comité souligne en outre la consolidation de la stratégie spatiale américaine, avec la remise sur pied du National Space Council et la publication de quatre Space Policy Directives (note : depuis, une 5ème Space Policy Directive relative à la cybersécurité des systèmes spatiaux a été promulguée le 4 septembre). Dans deux sondages de 2018 et 2019, 75% des Américains déclarent avoir une vision positive de la NASA et de l’exploration spatiale tandis que les deux tiers considèrent cette dernière comme nécessaire. sont des sujets dynamiques encore peu connus du grand public mais qui devront être abordés par les législateurs et le pouvoir exécutif lors des quatre prochaines années. Il s'agît d'un engin de type navette spatiale, entièrement automatisé, capable de modifier son orbite lui-même et de survivre à une rentrée atmosphérique, avant de se poser en vol plané, le tout en emportant des satellites et expériences dans son compartiment à charge utile. Il a effectivement cité les programmes spatiaux au même titre que l’abolition de l’esclavage ou le combat contre le fascisme : «, À une continuité dans le soutien financier de l’exécutif à la NASA et au Pentagone. Toutefois, les deux partis affichent des visions différentes du Spatial, un domaine au service des convictions politiques de chacun : Ainsi, ces deux programmes présentent des orientations stratégiques différentes pour les quatre prochaines années. À noter par ailleurs que le candidat démocrate a reçu le soutien de personnalités du monde du spatial américain, du Président Directeur Général d’Aerospace Industries Association Eric Fanning à l’ancien Administrateur de la NASA (2001 – 2004) Sean O’Keefe en passant par l’ancien astronaute John Grunsfeld. La place du spatial dans les programmes des candidats démocrate et républicain à l’Élection Présidentielle américaine de 2020 (à un mois du scrutin…) octobre 2, 2020 2:05 Le 3 novembre 2020, les Américains sont appelés à élire le prochain Président des États-Unis d’Amérique. Véhicule devant être réutilisable et abaisser drastiquement les coûts d'accès à l'espace, celui-ci aboutit au programme des navettes spatiales américaines. Au plus fort de la guerre froide, la NASA sélectionne sept des meilleurs pilotes d’essai de l’armée américaine pour devenir astronautes. Ils devront choisir entre le candidat républicain, Donald Trump (45ème Président des États-Unis, en fonction depuis 2017) et le candidat démocrate Joseph (Joe) Biden (47ème Vice-Président des États-Unis sous les mandats de Barack Obama entre 2009 et 2017). Les Américains sur Mars, les Chinois sur la Lune, une deuxième navette spatiale permanente et des vacances dans l'espace : FTVI vous conte les prochaines étapes de la conquête de l'espace. Le 16 août, Corey Goode, un initié du Programme Spatial Secret (PSS), a publié de nouvelles données de renseignement qu’il a reçues de ses sources sur des groupes concurrents qui se battent pour savoir comment, quoi et quand divulguer des informations sur les OVNI et les PSS. D’ici 2022, la Chine devrait assurer une présence permanente en orbite, bouclant le cycle initié en octobre 2016 avec l’envoi de deux « taïkonautes » en mission spatiale. Par la suite, durant les deux mandats de Barack Obama comme Vice-Président, Joe Biden ne semble pas s’être activement impliqué dans l’adoption de décisions en matière spatiale. Pendant ses mandats de législateurs, Joe Biden a rédigé ou co-rédigé seulement six textes liés à cette discipline : trois amendements commémoratifs (adoptés), deux amendements contre les essais antisatellites (rejetés) et une loi logistique pour permettre les paiements de l’ISS à la Russie (rejetée). Au cours de sa carrière politique de près d’un demi-siècle, ce dernier s’est d’ailleurs peu impliqué dans la politique spatiale américaine. Saviez-vous que #Corona est un programme spatial ? Publié le 31 mai 2020 à 09h42 SpaceX : un signal d’alarme pour le programme spatial russe. Mais rapidement, le président Dwight David Eisenhower a voulu que le programme spatial américain habité et scientifique soit sous le contrôle d'une agence fédérale civile, c'est ainsi qu'est née la National Aeronautics and Space Administration (NASA) tandis les utilisations du domaine spatial à des fins militaires et de renseignement se développent à vive allure[2]. La durée de vol la plus longue effectuée par un X-37B est de 780 jours (octobre 2020). Cette dernière a proposé de transformer l’agence spatiale en agence contre le changement climatique, une stratégie plus séduisante pour les Démocrates que l’exploration habitée tous azimuts de la Lune et de Mars. Certaines sont déjà passées, d'autres sont à venir. Reconduire Bridenstine pourrait être un choix de continuité, voire de rassemblement. A cette occasion, Républicains et Démocrates ont chacun revendiqué la paternité du programme commercial de vols habités, même s’il convient de rappeler que ce dernier a été initié par le Président Bush en 2006. selon les recommandations des projets correspondants. Une «, De l’incertitude croissante sur le déroulé du scrutin, avec une annonce du vainqueur qui pourrait tarder et être fortement perturbée. programme spatial américain - Traduction anglaise – Linguee Impacts potentiels sur l’organisation de la NASA, Réseaux sociaux de l’Ambassade et des Consulats généraux aux Etats-Unis, Pour mettre en exergue l’héroïsme et le patriotisme américains avec la mission Apollo 11 et conclure que «, Enfin, pour rappeler la grandeur des États-Unis, son histoire et son rôle exemplaire et « inspirant » pour le reste du monde. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. À la fin de la Seconde Guerre mondiale, les États-Unis ont récupéré la technologie des missiles V2 allemand et capturé plusieurs de leurs concepteurs, dont celui qui deviendra le père de ce programme spatial : Wernher von Braun. La Maison Blanche réclamait 12% de mieux par rapport à 2020 (soit 25,2 milliards). Le programme nouvellement engagé sappuie dune part sur la fusée géante Ares et dautre part sur le vaisseau habité Orion qui doit prendre la relève de la L’Observation de la Terre pourrait ainsi bénéficier de cette politique. Ouverture du fil destiné à discuter du projet spatial américain, avancé par la nouvelle administration, destiné à remplacer (ou modifier) le programme Constellation. À noter que le National Space Council (NSpC), présidé par l’actuel vice-président Mike Pence, a eu un rôle déterminant dans la définition et la conduite de la politique spatiale américaine depuis quatre ans. Les conventions démocrate (17-20 août) et républicaine (24-27 août) ont officiellement lancé la campagne présidentielle. être la priorité de l’agence, 25% trouvent que ce devrait être l’observation des géocroiseurs, tandis que seulement 11% placent les missions habitées vers la Lune ou Mars en tête de leurs choix. De plus, un cinquième estime être très intéressé par l’Espace. Le programme spatial secret américain existe depuis les années 50 ! Ces mêmes agences encouragent d’ailleurs de plus en plus l’indépendance et l’autonomie des sociétés privées commerciales dans leurs programmes, en affirmant souhaiter à plus ou moins long terme ne devenir que de simples « clients » de ces sociétés (derniers exemples en date : l’appel d’offre par la NASA le 10 septembre pour acheter des ressources lunaires sur place ou encore l’achat par la NOAA de données d’observations commerciales dans le cadre du programme Commercial Weather Data Pilot). Après avoir été nommé colistier de Barack Obama la même année, Joe Biden n’a fait référence au Spatial qu’une seule fois lors d’un discours en Floride. La période des Navettes Spatiales (1975 - 2011), Le retour de l'Homme sur la Lune (depuis 2004), Utilisation des satellites militaires pour un usage civil, Les agences spatiales américaines et leur budget, Les grands Hommes de l'astronautique américaine, Les grandes sociétés spatiales américaines, Répartition des lancements de satellites depuis les bases américaines. Ce faisant, il semble omettre la dimension environnementale et la place grandissante du secteur privé dans le domaine spatial (il avait encensé SpaceX pour le succès du premier vol commercial habité à destination de l’ISS en mai 2020, pour lequel il avait assisté au lancement depuis Cap Canaveral). Le candidat démocrate annonce ainsi son engagement de poursuivre les grands programmes d’exploration engagés par la NASA, de bonne augure pour le programme Artemis de retour d’astronautes sur la Lune. En espérant que celui-ci se focalise sur cette thématique, et ne dérive pas sur une discussion trop éloignée comme le … À noter qu’il s’agit de la même promesse inscrite au programme de la campagne de 2016. La planification du programme – connu sous le nom de Gateway – dure depuis des années, mais les contrats définitifs avec les entreprises aérospatiales européennes sont sur le point d’être signés et seront annoncés lors du Congrès international d’astronautique de cette semaine. Les États-Unis ont retrouvé en 2020 leur autonomie en matière de vols habités orbitaux avec le programme CCP (Commercial Crew Program) de la NASA. Le budget 2007 représentait 0,39 % du PIB américain réparti ainsi [ 6 ] : le Department of Defense (budget annuel de 27 milliards de dollars américain ) : satellites de … Alors en campagne pour la deuxième fois en 2008, Joe Biden n’a évoqué le domaine spatial qu’à une seule reprise pour tendre la main à la Chine dans le cadre d’un partenariat dans l’exploration spatiale. Quelle que soit l’issue du scrutin, on peut ainsi s’attendre à une continuité pour les grands programmes en cours, notamment dans l’exploration habitée, avec cependant des ajustements calendaires et budgétaires probables en cas de victoire démocrate. Il s'agit du programme spatial habité américain le plus connu. ». Dans ce contexte, la nomination express d’Amy Coney Barret par Donald Trump, trois jours après le décès de la juge Ruth Bader Ginsburg, cristallise toutes les tensions et devient avec le COVID-19 un sujet majeur de la campagne présidentielle de 2020. Les "services initiaux" du programme européen de navigation par satellite, concurrent du GPS américain, viennent d'être lancer ce jeudi 15 décembre. 3 expéditions viendront séjourner dans la station Skylab entre 1973 et 1974, et dont la dernière dura 84 jours, un nouveau record de durée. C'est sous contrôle militaire (au sein de l'Armée de terre) que les États-Unis ont commencé à s'intéresser à l'espace à travers notamment le développement des V2 et de premières fusées telles que la Redstone et la Jupiter[1]. La dernière modification de cette page a été faite le 15 mars 2021 à 19:10. En développant un véritable programme spatial de vol habité propre aux Européens, l’Union Européenne disposerait d'un levier diplomatique majeur en matière spatiale. Parmi les 54 points répartis dans 11 parties, une promesse dans le chapitre « Innovate for the Future » mentionne explicitement le domaine spatial, avec les objectifs suivants : « Launch Space Force, Establish Permanent Manned Presence on The Moon and Send the First Manned Mission to Mars ». Le premier satellite artificiel, Explorer 1, a même été placé en orbite par l'armée. Bien que le « Spatial » aux États-Unis ait rimé pendant longtemps avec « NASA », les mesures prises par le Président Trump pendant son mandat ont mis en avant d’autres enjeux et d’autres agences en lien avec le domaine spatial. Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Tranchant avec le climato-sceptisme de l’actuel Président, le candidat démocrate insiste sur les enjeux climatiques et affiche son intention de réintégrer les Accords de Paris s’il était élu, un message fermement rappelé lors du premier débat présidentiel le 29 septembre. Depuis la fin des navettes spatiales américaines en juillet 2011 et l’abandon du programme Constellation en 2010 (programme lancé par George W.Bush en 2004 avec pour objectif un retour sur la Lune en 2020), la NASA se concentre sur deux grands projets: la capsule Orion (MPCV) de 6 personnes destinée à l’exploration humaine du système solaire ainsi que le lanceur super-lourd SLS (pour Space Launch … Le concept de ce programme était la mise en place d'un bouclier antimissile autour du sol américain, notamment via des satellites en orbites basse, capables de détruire les missiles intercontinentaux via des lasers.