David Woods, Alexandr Turhanov and Lennox J. Waugh. 11. La mission Apollo 12 a permis de mettre au point une technique d'atterrissage plus économe en carburant et plus précise. Dans les deux cas, l'électricité stockée n'est pas renouvelable (pas de panneaux solaires). Les spécialistes mettent au point un programme de calcul des paramètres de manœuvre en quelques heures à peine. L'expression « Houston, we've had a problem » (en français, « Houston, on a eu un problème »), qui fut prononcée par Jack Swigert, est vite entrée dans la culture américaine, car le sauvetage de la mission Apollo 13 a été très suivi par les médias et le public. Apollo 13 1995 L'iscrizione alla newsletter comporta l'accettazione dei termini e condizioni d'utilizzo. Jim Lovell qui, deux ans plus tôt, avait participé au vol Apollo 8, est choisi pour diriger la mission Apollo 13. Jim Lovell qui, deux ans plus tôt, avait participé au vol Apollo 8, est choisi pour diriger la mission Apollo 13. L'analyse de ces roches présente un intérêt majeur, car elles proviennent sans doute des profondeurs et donc de la croûte d'origine : à ce titre, elles constituent des reliques de matériaux qui, sur Terre, ont complètement disparu de la surface, du fait de la tectonique des plaques. Le module lunaire, qui a servi de chaloupe de sauvetage à l'équipage, photographié juste avant que celui-ci n'entame son retour sur terre à bord du module de commande. L'étage de 14 tonnes s'écrase à une vitesse de 2,6 km/s (10 000 km/h) à environ 140 kilomètres du sismomètre, produisant l'équivalent de l'explosion de 7,7 tonnes de TNT. Or, cette méthode consomme en permanence d'importantes quantités d'eau (beaucoup plus que l'équipage lui-même). De plus, un accident grave, qui aurait pu être fatal pour l'équipage, se produisit durant le transit entre la Terre et la Lune et imposa l'abandon de la mission et le retour vers la Terre. Un grand nombre de statistiques sur le programme Apollo, mesures anglo-saxonnes (NASA SP-2000-4029), Sélection du site d'atterrissage sur la Lune, Déroulement prévisionnel de la mission Apollo 13, Sélection cruciale de la trajectoire de retour, Conséquences de l'accident sur le programme Apollo, Houston, we've had a problem. Célébration au centre de contrôle après le retour sur Terre de la mission Apollo 13. Il s'agit d'une adaptation du livre Lost Moon: The Perilous Voyage of Apollo 13 (1994), écrit par James « Jim » Lovell, qui fut le commandant de la mission spatiale Apollo 13, et Jeffrey Kluger. Le recours au moteur de l'étage de descente du module lunaire, pour effectuer les manœuvres de correction de trajectoire dans une configuration incluant le module de commande et de service, n'avait pas été prévu (la position du centre de masse et de la masse, atypique pour une mission Apollo, influe sur le résultat de la poussée du moteur). Extérieurement, ces dégâts seraient facilement visibles, mais la forme même du module de commande et la position de ses hublots empêchent les astronautes situés à l'intérieur d'apercevoir cette partie du module de service. Il s'agit de démontrer la supériorité des États-Unis sur l'Union soviétique dans le domaine spatial, devenu un enjeu politique dans le contexte de la guerre froide[1]. L'autre scénario consiste à laisser le vaisseau Apollo contourner la Lune et revenir sur Terre, ce qu'il doit faire naturellement sur la lancée de son mouvement actuel (trajectoire de retour libre). Toutefois, afin d'accentuer le caractère dramatique, certains détails s'écartent de la réalité. Schéma 2 : écorché du module de service montrant l'emplacement des 2 réservoirs d'oxygène (2), des trois piles à combustibles (1) et des deux réservoirs d'hydrogène (3). À l'intérieur du module de commande, le pilote, Swigert, désactive tous les équipements y compris le chauffage, pour préserver les deux batteries qui seront utilisées pour les ultimes manœuvres avant la rentrée atmosphérique et durant celle-ci. Le panneau éjecté a également endommagé l'antenne grand gain fixée à proximité. La seule manœuvre nécessaire serait une légère correction de trajectoire durant le trajet de retour, afin de ne pas manquer la Terre, manœuvre pouvant être effectuée à l'aide du moteur de l'étage de descente du module lunaire Aquarius. Maintenant que la survie à court terme de l'équipage n'est plus menacée, les spécialistes de la mécanique spatiale du centre de contrôle étudient comment ramener l'équipage sur Terre le plus rapidement possible, avant que soient épuisées les ressources limitées en énergie et en oxygène. La pression dans le réservoir d'oxygène no 2 semble nulle, tandis que celle du réservoir no 1 chute rapidement. Étudier la surface et la géologie du site de Fra Mauro et collecter une quarantaine de kilogrammes d'échantillons de roches, composés de roches individuelles, de fragments de roches et poussière en fournissant le contexte (photos) ; Déployer et mettre en marche l'ensemble instrumental. Des mesures ont été prises pour corriger celles-ci pour les missions suivantes. Origine: Américain. D'autre part, le module lunaire Apollo (LM, acronyme de Lunar Module), qui est utilisé uniquement à proximité de la Lune par deux des astronautes pour descendre, séjourner à la surface puis remonter en orbite avant de s'amarrer au module de commande et de service. Trois des quatre des directeurs de vol sont visibles au premier plan : de gauche à droite Gerald D. Griffin, Eugene F. Kranz et Glynn S. Lunney. En effet, le module lunaire transporte un générateur thermoélectrique à radioisotope (RTG) SNAP-27, destiné à rester à la surface de la Lune mais qui va désormais s'écraser sur Terre. Au cours des missions précédentes, cet étage de la fusée avait été placé sur une orbite héliocentrique. Son lancement fut repoussé à début 1971. Dans les années 1980, le module de commande fut prêté au musée de l'air et de l'espace du Bourget. La tension est à son comble car, selon les dernières estimations de l'équipe de Liebergot, la dernière pile à combustible cessera de fonctionner dans 15 minutes. Mais la reconnaissance photographique nécessaire pour identifier le site d'atterrissage devait incomber à la mission Apollo 13 et ne put être effectuée, compte tenu des circonstances. Il s'est écoulé environ onze minutes depuis l'incident, lorsque Lovell aperçoit par le hublot situé au milieu de l'écoutille des particules qui s'échappent du vaisseau. Les communications sont interrompues durant 25 minutes car la Lune s'interpose entre la Terre et le vaisseau. Parmi les systèmes arrêtés figurent le système de guidage du vaisseau et le chauffage assuré par des résistances électriques, ce qui fait chuter la température à l'intérieur du module lunaire à 9 °C, et à 3 °C dans le module de commande. Cette durée a plus tard été attribuée à un angle de rentrée légèrement plus plat que l'angle optimal, ce qui a fait durer la rentrée un peu plus longtemps que prévu. Ce film retrace l'histoire fascinante de la mission Apollo 13 qui n'a jamais pu aboutir, en raison de problèmes techniques, et qui a mis en péril la vie de son équipage. Les conclusions de l'enquête menées à la suite de l'accident d'Apollo 13 entraînèrent le report de la mission suivante (Apollo 14) pour permettre d'en tirer les conséquences. Apollo 13 est la troisième mission ayant pour objectif de faire atterrir des hommes sur la Lune. Apollo 13 : le récit d'une mission cauchemardesque vers la Lune LA TÊTE DANS LES ÉTOILES - Le 17 avril 1970, la mission Apollo 13 décolle. La trajectoire est donc modifiée une deuxième fois, cette fois à l'aide des moteurs du RCS du module lunaire (poussée d'une durée de 21,5 secondes), pour faire plonger les restes d'Aquarius dans la fosse des Tonga, profonde de 10 kilomètres[30]. Téléchargez légalement et facilement "Apollo 13" : location ou achat définitif, c'est à vous de choisir ! Dès le retour de l'équipage, une commission est nommée pour enquêter sur l'accident. Seize heures plus tard, le vaisseau contourne la Lune à une distance de 254 km. Il est également invité à fermer les valves des piles à combustible pour arrêter la fuite, mais cette action n'arrête pas la chute de la pression dans les réservoirs[18],[19]. À la demande du centre de contrôle, l'équipage s'installe aux commandes du LM pour exécuter la séquence d'instructions définie par les spécialistes du module lunaire. Apollo 13 en streaming complet. Le vaisseau amerrit finalement dans l'Océan Pacifique entre la Nouvelle-Zélande et les Îles Fidji, à six kilomètres du navire d'assaut amphibie USS Iwo Jima (LPH-2), navire amiral de la flotte chargée de récupérer les astronautes. Robert Nemiroff, Jerry Bonnell et Didier Jamet (traducteur), Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste, générateur thermoélectrique à radioisotope, (NASA SP-4214) Where No Man Has Gone Before : A History of Apollo Lunar Exploration Missions 1987, Mission operations reports Apollo 13 - Mission consumables 1970, Spacecraft Incident Investigation – Volume 1: Anomaly Investigation 1970, Théories conspirationnistes sur le programme, Missions de la navette spatiale américaine, Expéditions de la Station spatiale internationale, Plankton, Aerosol, Cloud, ocean Ecosystem, Station spatiale analogique Scott Carpenter, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Apollo_13&oldid=182050123, Accident ou incident lié à la conquête spatiale, Catégorie Commons avec lien local identique sur Wikidata, Page pointant vers des bases relatives à l'astronomie, Page pointant vers des dictionnaires ou encyclopédies généralistes, Article de Wikipédia avec notice d'autorité, Article contenant un appel à traduction en anglais, Portail:Sciences de la Terre et de l'Univers/Articles liés, Portail:Époque contemporaine/Articles liés, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence, Ordinateurs de navigation et de pilotage de la propulsion. Apollo 13 (11 avril 1970, 13 h 13 CST - 17 avril 1970) est une mission lunaire habitée du programme Apollo interrompue à la suite de l'explosion d'un réservoir d'oxygène du module de service Apollo au cours du trajet vers la Lune. La phrase a ensuite été légèrement déformée et est surtout connue de nos jours sous la forme « Houston, we have a problem » (« Houston, on a un problème »)[37].